La mise en œuvre d’un sujet de cette ampleur n’a pu être réalisée sans l’aide efficace de nombreuses compétences à qui je suis redevable.
Mes remerciements chaleureux vont à mes confrères et amis qui m’ont soutenue tout au long de ces années de labeur. Je citerai en tout premier lieu Monsieur Pierre Amiet, Conservateur en Chef du Département des Antiquités Orientales au Musée du Louvre, dont les conseils ne m’ont jamais fait défaut au cours d’entretiens constructifs. Je lui suis particulièrement reconnaissante de m’avoir autorisée avec sa libéralité coutumière à publier des objets inédits du Louvre. J’ai bénéficié également des avis de Maurice Lambert, dont la brutale disparition prive ses amis d’un dialogue toujours stimulant. Je suis grandement redevable à Lucienne Laroche pour l’établissement des planches photographiques et à Jeanne-Marie Aynard pour son œil efficace dans la lecture des épreuves.
L’illustration a pu être constituée grâce à la collaboration des Musées de Téhéran, de Damas, d’Amman, d’Istanbul, de Jérusalem d’une part, du Musée d’État de Berlin, du Musée National et de la Glyptotek Ny Carlsberg de Copenhague, de l’Ashmolean Museum d’Oxford et du British Museum d’autre part ; enfin des musées américains suivants : Oriental lnstitute de Chicago, University Museum de Philadelphie, Fogg Art Museum de l’Université d’Harvard, Cleveland Museum of Art, Brooklyn Museum et Metropolitan Museum of Art de New York. Je suis reconnaissante au Professeur Tahsin Özgüç d’avoir bien voulu me procurer la documentation sur la statue de Kululu.
C’est à Monsieur Albert Beuret, Secrétaire général de l’Univers des Formes aux Éditions Gallimard et à Mademoiselle Jacqueline Blanchard, que je dois d’avoir pu utiliser quelques excellentes photographies de la collection qui ne m’étaient pas accessibles par ailleurs. Je leur dis ma gratitude, ainsi qu’à Madame Marie-Louise Parrot, qui m’a généreusement donné l’autorisation de reproduire quelques-unes de ses photographies du Musée de Bagdad. Je ne saurais passer sous silence la qualité des prises de vue et la diligence de Messieurs Chuzeville, photographes du Musée du Louvre, qui ont toujours répondu avec efficacité à mes demandes.
J’ai bénéficié pour les dessins du talent de Mademoiselle Cornelie Wolff et je ne saurai assez la remercier pour sa compréhension de l’objet et pour la précision du trait alliées à l’élégance de réalisation.
Mais rien n’aurait pu s’accomplir sans le Professeur Dr Barthel Hrouda, dont l’aide et la confiance ne se sont jamais démenties tout au long de ces années d’élaboration.
Paris, juin 1979, Agnès Spycket